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Beatie Wolfe / Taylor Primetime / Original Grain / GT Love / Universal Vibrations / Folk Alliance / Manchester Orchestra
Beatie Wolfe : « From Green to Red » au sommet des Prix Nobel
Beatie Wolfe, compositrice-interprète et innovatrice musicale britannique (324ce, 110e) consacre sa carrière à faire évoluer la manière dont les gens s’impliquent envers l’art et la musique. Sa passion pour la génération de formats immersifs inédits, destinés à créer et à ressentir la musique, ne se limite pas seulement à la composition et l’enregistrement : elle recourt à ces formes musicales inventives pour explorer des questions importantes et préserver notre sentiment d’humanité. Par le passé, elle s’est produite dans une chambre anéchoïque (une salle conçue pour absorber toutes les ondes sonores), a diffusé sa musique dans l’espace et a conçu la première expérience de réalité augmentée à 360° pour visualiser son album Raw Space.
Beatie a récemment été invitée à se présenter au sommet inaugural des Prix Nobel, qui s’est tenu sous forme virtuelle du 26 à 28 avril 2021. L’événement, intitulé « Notre planète, notre avenir » a réuni des intellectuels, des artistes et des dirigeants du monde entier afin de trouver des solutions innovantes pour répondre au problème mondial du changement climatique. Ils se sont notamment penchés sur la question suivante : « Que pouvons-nous faire au cours de cette décennie pour mettre le monde sur la voie d’un avenir plus durable et plus prospère pour toute l’humanité ? »
Le sommet a abordé les questions environnementales, ainsi que des défis tels que les inégalités et le rôle de la technologie, deux thèmes profondément liés à la crise du changement climatique à plus grande échelle. Beatie était invitée à se produire et à s’exprimer au sein d’un comité concernant le bois urbain et la diminution de la canopée dans les villes du monde entier (sans surprise, c’est une fervente partisane de l’initiative Taylor relative au bois urbain). Sa présence s’est achevée sur une prestation musicale accompagnée d’une visualisation de données illustrant l’accélération rapide des émissions de gaz à effet de serre ces dernières décennies. Étayée par des données de la NASA, l’animation présente une chronologie planétaire qui suit les 800 000 dernières années, créant un contexte plus accessible pour se rendre compte d’un problème extrêmement complexe.
Beatie et son morceau, intitulé « From Green to Red » (du vert au rouge), ont été présentés par Robert Woodrow Wilson, lauréat d’un Prix Nobel et physicien décoré. Ce dernier avait auparavant aidé Beatie à diffuser son album dans l’espace via l’antenne cornet Holmdel, dans le New Jersey – cette même antenne qui permit à Robert Wilson et Arno Penzias de découvrir pour la toute première fois le fond diffus cosmologique.
Beatie qualifie son œuvre de « contestation environnementale », destinée à offrir au public une meilleure compréhension de l’impact des comportements humains sur la planète.
Taylor s’épanouit en Primetime
Ceux qui ont suivi Taylor l’an passé connaissent probablement Taylor Primetime, notre série hebdomadaire d’entretiens en direct diffusée sur YouTube. Primetime a été une grande source d’inspiration et de divertissement, et la deuxième saison est déjà bien entamée. Nous nous sommes notamment entretenus avec Brian Collins, qui nous a expliqué son ascension en tant que musicien indie, avec Bob Taylor sur la façon dont les robots peuvent nous aider à fabriquer des guitares, et avec Paul Pesco, « guitariste invisible », sur sa carrière en tant que musicien de session.
En avril, nous avons accueilli Mark Moore, superviseur de notre service Scierie, pour qu’il nous explique ce qu’il advient de nos bois dans cette partie de l’usine. Nous nous étions auparavant entretenus avec Mike Venezia sur la manière dont les musiciens peuvent explorer de nouveaux sons et des couleurs sonores inédites avec leur guitare acoustique et se découvrir un style qui leur est propre.
Chaque semaine, les animateurs Taylor Jay Parkin, Lindsay Love-Bivens et Andy Lund vous présentent des interviews récentes, des Q&A sur le vif avec le public et bien plus encore : rejoignez-nous sur notre chaîne YouTube, tous les mardis soirs à 18 h, heure du Pacifique, pour passer un excellent moment musical en notre compagnie.
Taylor dans l’air du temps
Plus tôt cette année, nous avons lancé un partenariat avec Original Grain, un horloger local de San Diego, afin de concevoir et produire une série en édition limitée de montres Taylor intégrant notre ébène Crelicam et nos bois Urban Ash. La marque Original Grain est spécialisée dans les montres arborant du bois véritable au niveau du cadran, de la lunette et d’autres éléments. Chaque modèle est fabriqué avec des bois ou d’autres matériaux dont l’histoire est source d’anecdotes. Les montres Taylor que l’entreprise a créées – mettant en valeur les teintes sombres de l’ébène et le marron chocolat de l’Urban Ash, rehaussés par des sous-cadrans en abalone et la forme de crosse Taylor – ont excédé toutes nos attentes, à la fois en termes d’artisanat que d’exigences des clients.
La première série de 300 montres s’est rapidement vendue en février, nous incitant à renouveler rapidement ce partenariat avec une deuxième commande, où nous avons triplé le nombre d’objets fabriqués. Le projet a même été relayé par la télévision locale quand Scott Paul (notre directeur de la pérennité des ressources naturelles) et Ryan Beltran, cofondateur d’Original Grain, ont été interviewés par KUSI San Diego.
Le mieux dans tout ça ? Les bénéfices des montres sont en partie transmis à deux organismes œuvrant pour des causes admirables : Guitars4Vets, qui distribue des guitares et offre des cours aux vétérans de l’armée souffrant de SSPT (syndrome de stress post-traumatique) ou d’autres troubles mentaux, ainsi que Tree San Diego, qui agit pour restaurer, faire pousser et protéger la canopée urbaine du comté de San Diego. La première phase du projet a permis de recueillir plus de 12 000 $ pour les deux organismes.
En juin, Guitars4Vets va organiser une cérémonie de remise de diplômes pour huit vétérans locaux. Leur propre guitare Taylor leur sera offerte à bord de l’USS Midway, amarré à l’embarcadère de San Diego, dans le centre-ville. Si vous voulez en savoir plus sur ces montres et, pourquoi pas, en acheter une, veuillez consulter le site Internet OriginalGrain.com.
Encore des éloges pour la GT Taylor
Après l’arrivée de nos dernières-nées (la GT 811e palissandre/épicéa et la GT K21e tout koa) dans la famille GT, de plus en plus nombreuse, les critiques avaient hâte de saisir et de tester ces nouvelles versions de notre guitare acoustique de taille réduite, entièrement en bois massif. Ces deux modèles présentent le même corps compact inédit que la GTe Urban Ash originale, mais cette fois avec de nouvelles associations de bois, en accord avec les séries 800 et Koa de notre gamme standard.
Rédigeant un article sur la GT 811e pour le magazine britannique Guitarist, David Mead l’a qualifiée de « révélation » et d’instrument ajoutant « une ou deux cordes de plus » à l’arc sonore de la GTe Urban Ash.
« Nous n’étions pas prêts pour tout le fun qu’elle offre, ni pour sa polyvalence, quel que soit le style de musique, écrit David. Nous avons essayé de jouer du blues en fingerpicking, des accords plaqués, de l’acoustique en fingerstyle… La 811e nous a répondu avec une dextérité hors normes. »
Il a également commenté les sensations fluides communes à tous les modèles de GT, obtenues grâce à leur diapason plus court que la moyenne et leur corps compact, permettant ainsi au guitariste de rapprocher ses mains pour un jeu plus intimiste et conciliant.
« Le diapason plus court délivre les sensations plus fluides d’un instrument en drop-tune, tout en améliorant l’expérience de jeu globale », a-t-il conclu.
Ailleurs sur le web, Peghead Nation a également eu la chance d’essayer la GT K21e après avoir testé la GT 811e un peu plus tôt cette année. Ayant entendu les deux guitares, le critique Teja Gerken en a fait un comparatif utile, remarquant la richesse sonore et la texture de la version koa.
« J’ai trouvé qu’elle possédait davantage de chaleur et de complexité sonore, déclare-t-il. Bien que j’aie tendance à favoriser les tables en épicéa par rapport aux tables à bois dur, comme le koa ou l’acajou, je dois admettre que dans ce cas, la table en koa a renvoyé des sonorités plus sophistiquées. »
Teja a également pris le temps de jouer sur la GT K21e branchée sur un ampli acoustique, offrant à l’électronique ES2 embarquée une chance de se démarquer avec cette forme inédite de corps plus petit.
« J’ai branché la guitare dans un ampli Fishman, et j’ai obtenu d’excellentes sonorités amplifiées, probablement indiscernables de celles de Taylor de taille normale dotées de la même électronique », poursuit-il.
Couvrant d’éloges la jouabilité et les sensations de la GT, Teja conclut sa critique par une synthèse sympathique de la G K21e, la qualifiant d’option parfaite pour les musiciens exigeants.
« Les musiciens recherchant une superbe guitare, dotée d’un caractère sophistiqué et de sonorités contemporaines, tout en étant incroyablement facile à jouer, n’ont pas besoin d’aller plus loin : cette GT répond à toutes leurs exigences ! »
Guitar Girl Magazine nous a également fait part de son admiration pour la GT, publiant un entretien mi-avril avec Lindsay Love-Bivens, responsable des relations artistes et communauté. Lindsay y a abordé ses expériences avec les guitares GT, notant leur mélange unique de portabilité et de jouabilité, associé à une fabrication haut de gamme.
« Vous voyez beaucoup de musiciens, professionnels ou non, désirant des guitares de plus petite taille, déclare-t-elle. Et pourtant, ils ne veulent pas faire de compromis sur les sonorités, ni sur l’expérience offerte par une guitare de taille normale, dont vous bénéficiez avec une guitare à corps plus imposant. Si vous recherchez une guitare vraiment exceptionnelle, avec un corps de petite taille, c’est celle-ci qu’il vous faut. »
Vibrations universelles
Note du rédacteur : Plus tôt cette année, Tate Ward, propriétaire Taylor et jeune diplômé universitaire, nous a contactés pour nous faire part de ce que sa Big Baby signifiait pour lui. Après quelques e-mails échangés, nous sommes convenus qu’il serait sympa qu’il interviewe la personne lui ayant donné la guitare (Ed Roland, chanteur lead et guitariste rythmique du groupe Collective Soul). Il devait demander à Ed pour quelle raison il était aussi passionné de guitares et pourquoi il lui tenait tant à cœur de transmettre aux autres le don de la musique.
J’ai rencontré Ed Roland, compositeur/interprète et guitariste du groupe Collective Soul, quand j’étais enfant. Son fils Lindsey et moi-même nous considérons comme des cousins (c’est une longue histoire). Pour Ed, c’est la famille d’abord, que cela concerne la musique ou non. Pour lui, le groupe est une famille. Tout au long de sa vie, la musique – et les guitares – ont été un don qu’il a reçu et qu’il a été heureux de transmettre aux autres. Je sais de quoi je parle : Ed a repéré l’intérêt que je portais aux guitares quand j’étais gamin et, un jour, un colis m’attendait devant la porte. À l’intérieur se trouvait le cadeau le plus cool que j’ai jamais reçu : une guitare Big Baby de Taylor.
Au cours du long confinement lié à la pandémie, j’ai eu la chance de m’entretenir avec Ed et d’aborder avec lui les cadeaux, la famille, la culture de la guitare et les vibrations qui composent l’univers.
Tu m’as offert une guitare Taylor quand j’étais gamin. Qu’est-ce qui t’a incité à le faire ?
Elle demeurera à tes côtés pendant le restant de tes jours… J’ai grandi au sein d’une famille de musiciens. Ma mère jouait du piano ; mon père avait suivi une formation de chanteur d’opéra. Bono a déclaré : « Apprends trois accords et prends le contrôle du monde ». Pour ma part, je dis « Apprends trois accords et profite de la vie ».
Comment as-tu eu ta première guitare ?
L’un de mes amis, Terry Hamilton, me l’a donnée. Je lui ai dit un jour que je voulais apprendre à jouer, il m’a rendu visite le lendemain et m’a donné une guitare. L’été suivant, j’ai peint des clôtures pour gagner assez d’argent et pouvoir me payer une électrique. Une fois la somme réunie, mes parents ont vu que ce n’était pas une lubie et me l’ont achetée. Ma première acoustique m’a donc été offerte par mon ami, et ma première électrique par mes parents.
Comment as-tu appris à en jouer ?
Terry m’a donné un livre de partitions des chansons d’Elvis. Les accords y étaient illustrés… J’ai procédé de manière empirique pendant deux ou trois mois. Après, je me suis amélioré.
On dirait que tes parents t’ont soutenu dans ton apprentissage.
Oui, ils m’ont beaucoup aidé. Ils m’ont autorisé à veiller tard pour m’entraîner, tant que je ne me plaignais pas d’être fatigué le lendemain.
Qu’est-ce qui t’a donné envie de jouer ?
Je jouais de la clarinette, mais je voulais quelque chose d’un peu plus puissant… Je me souviens avoir vu une photo de Paul McCartney avec une guitare quand il était dans le groupe Wings et de m’être dit « Waouh, ça a l’air cool, je vais faire ça, je vais apprendre la guitare ».
Ça fait quoi d’être dans un groupe avec son frère ?
Je ne pourrais pas imaginer faire partie d’un groupe sans lui… C’est plus facile d’avoir sa famille et ses amis en tournée avec soi. Tu n’as pas autant le mal du pays. En vérité, tu as le mal du pays quand tu es chez toi car tes potes te manquent !
Je sais que ton fils Lindsey a un pied dans la musique. La transmission de la musique dans la famille, c’est quelque chose d’important à tes yeux ?
Ce qui m’importe, c’est que mes enfants soient heureux… S’ils veulent faire de la musique, très bien, mais ça les regarde. Quoi qu’ils désirent entreprendre, je les soutiendrai tant qu’ils me laisseront le faire.
Penses-tu que la musique permet de créer avec des personnes des liens impossibles à tisser autrement ?
Complètement. La musique a un langage qui lui est propre. Nous avons joué dans des endroits où nous ne parlions pas la langue des gens qui nous accueillaient, eux ne parlaient pas la nôtre… Et pourtant, nous avons joué, et cette musique s’est transformée en vibrations. C’est de ça que nous sommes composés ; la galaxie toute entière est faite de vibrations.
Je viens du Kentucky, et la guitare a une place prépondérante dans la culture de cet État. Tu dirais que c’est pareil pour la Géorgie ?
La Géorgie a une culture très variée… On a beaucoup d’excellents magasins de guitares, alors je dirais que oui ! Mais si je devais dire ce qui me vient en premier à l’esprit quand je pense à la Géorgie, je dirais que c’est le football. J’aimerais pouvoir dire que c’est la guitare, mais je ne crois pas que quelque chose puisse battre le foot !
Comment le coronavirus a-t-il impacté le groupe ?
Comment dire… On a été confinés pendant un an. On a fait quelques concerts, et on a dû être très prudents. C’est comme pour tout le monde : on essaye d’être responsables et respectueux. On est coincés, en quelque sorte, mais on a fait bon usage de ce temps. En réalité, on a fait deux albums cette année ! Juste pour aller de l’avant : ça nous occupe, ça nous donne quelque chose à faire, et comme ça, on peut se voir. On essaye juste de mettre cette période à profit.
Comment la pandémie a-t-elle impacté des groupes de moindre importance ? Il n’y a plus autant de concerts.
Oui, sur le plan professionnel, le moment ne serait pas du tout opportun pour lancer un groupe. Tu peux composer, répéter, tout préparer, mais il faudra que tu attendes que tout rentre dans l’ordre pour pouvoir jouer devant un public. Pour moi, c’est toujours ce qui importe le plus. La jeune génération a toujours cette volonté de sortir et de voir des concerts en live.
Je sais que tu as fait des concerts caritatifs par le passé. Avec la pandémie en cours, ces événements ont-ils toujours lieu ?
Non. J’en fais en général un dans un endroit appelé Eddie’s Attic, à Atlanta. Il n’a pas eu lieu cette année. Je suis bien allé en Caroline du Sud, où les restrictions étaient levées, et on a fait deux concerts en une soirée… On a récolté beaucoup d’argent pour les enfants à l’occasion de Noël.
Rendre à la communauté par le biais de la musique est clairement quelque chose d’important à tes yeux. Tu peux m’en dire plus ?
J’adore voyager avec mes guitares, et les Baby Taylor se prêtent merveilleusement bien à la tâche. Ça me permet de m’exprimer, ça m’amuse… Je veux que tout le monde ressente ce que je ressens quand je joue ; je veux que tout le monde soit heureux.
J’ai près de 300 guitares, et mon rêve serait qu’un jour, je puisse les offrir à une école ou un lycée pour qu’elles soient proposées comme dans une bibliothèque, et que les gamins puissent en essayer une et monter un groupe… Je pense que la musique constitue une part très importante de chacun d’entre nous, et que nous ne nous en rendons pas forcément compte. Quand les gens montent en voiture pour emmener leurs enfants à l’école, ils mettent la radio… La musique fait partie inhérente de nos vies, bien plus que ce que l’on pourrait imaginer. Je pense simplement que c’est formidable de vivre ainsi, et j’adore transmettre la musique de cette manière.
Tu dis que tu veux donner tes guitares à une école. Tu penses que m’offrir cette Taylor était une sorte de microcosme de ce projet ?
Oui, mais la seule différence, c’est que les élèves devront la rendre, alors que toi, tu as pu garder la tienne ! Je persiste et signe : j’aime tellement la guitare, j’adore pouvoir transmettre des choses comme ça.
Le folk à distance
Cela fait longtemps que Taylor est en lien avec Folk Alliance International, une organisation se consacrant à la promotion, au partage et à la préservation de la puissance culturelle unique de la musique folk sous toutes ses formes. La « musique du peuple » est un terme fourre-tout, concernant divers sous-genres, de l’Americana au hip-hop en passant par le roots mondial. Comme grand nombre d’organisations, la FAI a été obligée de faire sa réunion annuelle en ligne cette année, gardant la musique en vie grâce à une expérience virtuelle de quatre jours qui s’est déroulée en février. Dan Navarro, compositeur-interprète, y a animé les prestations des artistes. Présenté en partenariat avec Taylor Guitars, cet événement a rassemblé de nombreux artistes Taylor venant de l’immense univers de la musique folk, notamment Jade Bird, Katie Pruitt, Jackie Venson, Glen Phillips, Deborah Holland, Sara Niemietz et Snuffy Walden, Hannah Bethel, Steve Poltz, et Dan Navarro lui-même.
Riches en interprétations acoustiques intimistes de morceaux folk classiques ou de chansons originales, le concert virtuel a mis en valeur plusieurs moments marquants, dont le « Pandemic Blues » de Steve Poltz, une parodie brillante et hilarante de la survie en confinement l’an passé. Après la sortie de la vidéo de Poltz en février, son ressenti musical de la vie pendant la pandémie a fait le tour des réseaux sociaux. Faites-vous votre avis en visionnant la vidéo ! « Pandemic Blues » commence vers 42:15. Ne manquez pas les autres excellentes prestations !
Manchester Orchestra vous souhaite bien le bonjour
Originaires d’Atlanta, les membres du groupe de rock indie Manchester Orchestra ont reçu un accueil chaleureux des critiques depuis leurs débuts en 2004. Andy Hull, frontman et guitariste lead, a récemment été attiré par les guitares acoustiques Taylor, à tel point qu’il a choisi d’enregistrer des parties du nouvel album du groupe, The Million Masks of God, avec ses nouveaux instruments. Depuis qu’il a adopté les guitares Taylor, Andy joue sur une 717e Builder’s Edition, une GTe Urban Ash et une 816ce Builder’s Edition, cette dernière l’ayant accompagné lors d’une récente apparition dans la partie « Saturday Sessions » de l’émission CBS This Morning. Manchester Orchestra a joué deux morceaux de leur futur album lors de l’émission du matin, en version épurée et acoustique, contrastant avec le son plus électrique de leurs enregistrements studio.
Vous pouvez écouter l’album The Million Masks of God sur tous les services de streaming, ou acheter une copie physique ici.