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Note du rédacteur : ce message s’adressait à l’origine au co-fondateur Kurt Listug. Il fait référence à la dernière section de sa rubrique du Vol. 102 / Numéro 1 de cette année:

“Je voudrais également remercier l’ensemble des propriétaires de guitares Taylor du monde entier pour avoir autant contribué à notre croissance au fil des années. Nous savons que de nombreuses personnes ont commencé la guitare récemment, et nous espérons que tous les nouveaux propriétaires d’instruments Taylor profitent de l’expérience que nous leur offrons. L’un des objectifs de l’actionnariat des employés Taylor est de rester focalisés sur la fabrication des meilleures guitares possibles à l’avenir et de continuer à inciter les gens à s’exprimer par l’intermédiaire de la musique.”

Je viens juste de refermer votre magazine. Kurt, Bob, je lis toujours ce qui concerne vos actions et la direction que vous allez faire prendre à Taylor. La façon dont l’entreprise a grandi… Je trouve ça épatant. Je possède actuellement neuf guitares Taylor. Parmi les 50 instruments dont j’ai fait l’acquisition depuis 1977, ce sont de loin mes préférées.

Il est tout naturel que nous, vos clients, vous soutenions. J’apprécie vos commentaires à leur juste valeur, et je vous souhaite le meilleur pour votre retraite. Bravo à tous les deux.

David

GT, mon amour

Je viens de recevoir ma nouvelle GTe Acajou, envoyée par le magasin Chicago Music Exchange (au service très rapide et courtois). Le son est extrêmement bien équilibré : clair, brillant et articulé sur l’ensemble du spectre, qu’il s’agisse des graves ou des aigus, avec un volume bien plus conséquent que ce à quoi je m’attendais de la part d’un instrument de cette taille.

À 79 ans, la jouabilité est désormais un critère essentiel pour moi, et cette GTe a dépassé mes attentes à tous les égards. Il m’est bien plus facile d’interpréter des morceaux, quelle que soit la position sur la touche ou la difficulté des suites d’accords.

Je joue un mélange éclectique de fingerpicking, de flatpicking et de rythmiques, un style que j’ai acquis en écoutant Chet Atkins, Merle Travis et Scotty More pendant mes années d’apprentissage de l’instrument ; quel que soit le genre (ou le mariage entre tous), cela sonne bien sur la GTe Acajou.

J’ai commencé dans les années 1950 à jouer sur des guitares Kay, Harmony ou encore Stella, passant ensuite à Guild, Gretsch et Gibson lorsque mes finances me le permettaient. Aujourd’hui, en fonction de la qualité, du son, de la jouabilité, de l’apparence, du rapport qualité-prix et des efforts de Taylor en matière de développement durable et de responsabilité d’entreprise, je me tourne principalement vers des guitares Taylor ; tout achat futur sera auprès cette marque.

Merci pour ce nouvel instrument exceptionnel. J’espère que vous envisagerez d’intégrer la GTe à la série 300 ou 500 à l’avenir.

John Clower Monroe, Georgie

Cousines de série 800

Je voulais simplement vous dire à quel point j’aime Taylor, et vous raconter mon histoire avec la marque.

En 2014, mes parents ne furent plus en mesure de s’occuper de leur péniche en acier (canaux britanniques) et la vendirent ; une partie du produit de la vente nous revint, à mon frère et moi.

Avec cet argent en poche, je me mis à la recherche d’une acoustique haut de gamme. J’envisageai principalement d’acquérir une Takamine ou une Martin. Je fis tout d’abord halte à Sounds Great, à proximité de Manchester (la boutique n’existe plus, malheureusement), où j’essayai quelques guitares. Je fus immédiatement interpellé par le son ample et le volume de la 814ce Taylor (2014) que le magasin recelait. J’essayai quelques autres modèles, puis je laissai passer une semaine, après quoi je me rendis chez PMT Salford pour procéder de même. Le magasin était mieux achalandé, toutes marques confondues, mais aucune guitare ne me fit la même impression que la 814ce.

Je revins donc chez Sounds Great, et heureusement pour moi, la guitare y était toujours ! Elle délivrait encore le son riche et imposant dont je me souvenais. C’est un instrument épatant, que j’adore et que je conserverai toute ma vie, non seulement parce qu’il est exceptionnel, mais également parce qu’il me rappellera mon père, à présent très malade.

Ainsi commença mon histoire d’amour avec Taylor. J’ai adoré chaque minute que j’ai pu consacrer à ma 814ce, et j’ai hâte de dévorer Wood&Steel quand le facteur me l’apporte. Quand j’ai vu que quelqu’un cherchait à vendre une autre Taylor de série 800, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’essayer.

Il s’agissait d’une 810 LTD de 1997 ; en chemin pour rencontrer le vendeur, j’avoue que j’étais un peu dubitatif, allant même jusqu’à me demander pourquoi je faisais le déplacement. Cependant, quelques secondes après avoir posé mes mains sur la guitare, ma décision était prise. C’était encore un instrument vraiment superbe, tant en termes de look que de sonorités. On m’a dit qu’elle avait été fabriquée pour un salon aux États-Unis, où elle avait été vendue, puis qu’elle avait été rapatriée au Royaume-Uni avec son propriétaire d’origine.

Et voilà, une autre magnifique guitare que je ne vendrai pas non plus et qui tiendra compagnie à ma petite jeunette. Je vais avoir 60 ans l’année prochaine, et j’espère pouvoir en profiter encore quelques années.

J’adore Taylor en tant qu’entreprise. Vous fabriquez des instruments incroyables. D’aucuns peuvent dire que les guitares haut de gamme ne valent pas leur prix, mais la joie et le plaisir que me procurent mes Taylor, ainsi que la richesse et la facilité de jeu, valent chaque centime dépensé.

Continuez comme ça!

Paul Stubbs Cheshire, Royaume-Uni

Premières fois

La toute première Taylor sur laquelle j’ai joué était une 815 [jumbo] de 1985, avec un chevalet moustache, qui appartenait à un ami. La première Taylor dont je suis tombé amoureux, c’était une 514 de 1996. La première Taylor que j’ai acheté, c’était une 314 LTD de 2002 avec un dos et des éclisses en érable marron. Maintenant que j’ai 64 ans, j’ai une 522e. C’est la première guitare qui répond à mes propres besoins : elle possède une petite caisse, avec un diapason court et une table acajou ; elle est géniale pour le jeu en flatpicking et en fingerstyle.

Steve

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“Je voudrais également remercier l’ensemble des propriétaires de guitares Taylor du monde entier pour avoir autant contribué à notre croissance au fil des années. Nous savons que de nombreuses personnes ont commencé la guitare récemment, et nous espérons que tous les nouveaux propriétaires d’instruments Taylor profitent de l’expérience que nous leur offrons. L’un des objectifs de l’actionnariat des employés Taylor est de rester focalisés sur la fabrication des meilleures guitares possibles à l’avenir et de continuer à inciter les gens à s’exprimer par l’intermédiaire de la musique.”

Je viens juste de refermer votre magazine. Kurt, Bob, je lis toujours ce qui concerne vos actions et la direction que vous allez faire prendre à Taylor. La façon dont l’entreprise a grandi… Je trouve ça épatant. Je possède actuellement neuf guitares Taylor. Parmi les 50 instruments dont j’ai fait l’acquisition depuis 1977, ce sont de loin mes préférées.

Il est tout naturel que nous, vos clients, vous soutenions. J’apprécie vos commentaires à leur juste valeur, et je vous souhaite le meilleur pour votre retraite. Bravo à tous les deux.

David

GT, mon amour

Je viens de recevoir ma nouvelle GTe Acajou, envoyée par le magasin Chicago Music Exchange (au service très rapide et courtois). Le son est extrêmement bien équilibré : clair, brillant et articulé sur l’ensemble du spectre, qu’il s’agisse des graves ou des aigus, avec un volume bien plus conséquent que ce à quoi je m’attendais de la part d’un instrument de cette taille.

À 79 ans, la jouabilité est désormais un critère essentiel pour moi, et cette GTe a dépassé mes attentes à tous les égards. Il m’est bien plus facile d’interpréter des morceaux, quelle que soit la position sur la touche ou la difficulté des suites d’accords.

Je joue un mélange éclectique de fingerpicking, de flatpicking et de rythmiques, un style que j’ai acquis en écoutant Chet Atkins, Merle Travis et Scotty More pendant mes années d’apprentissage de l’instrument ; quel que soit le genre (ou le mariage entre tous), cela sonne bien sur la GTe Acajou.

J’ai commencé dans les années 1950 à jouer sur des guitares Kay, Harmony ou encore Stella, passant ensuite à Guild, Gretsch et Gibson lorsque mes finances me le permettaient. Aujourd’hui, en fonction de la qualité, du son, de la jouabilité, de l’apparence, du rapport qualité-prix et des efforts de Taylor en matière de développement durable et de responsabilité d’entreprise, je me tourne principalement vers des guitares Taylor ; tout achat futur sera auprès cette marque.

Merci pour ce nouvel instrument exceptionnel. J’espère que vous envisagerez d’intégrer la GTe à la série 300 ou 500 à l’avenir.

John Clower Monroe, Georgie

Cousines de série 800

Je voulais simplement vous dire à quel point j’aime Taylor, et vous raconter mon histoire avec la marque.

En 2014, mes parents ne furent plus en mesure de s’occuper de leur péniche en acier (canaux britanniques) et la vendirent ; une partie du produit de la vente nous revint, à mon frère et moi.

Avec cet argent en poche, je me mis à la recherche d’une acoustique haut de gamme. J’envisageai principalement d’acquérir une Takamine ou une Martin. Je fis tout d’abord halte à Sounds Great, à proximité de Manchester (la boutique n’existe plus, malheureusement), où j’essayai quelques guitares. Je fus immédiatement interpellé par le son ample et le volume de la 814ce Taylor (2014) que le magasin recelait. J’essayai quelques autres modèles, puis je laissai passer une semaine, après quoi je me rendis chez PMT Salford pour procéder de même. Le magasin était mieux achalandé, toutes marques confondues, mais aucune guitare ne me fit la même impression que la 814ce.

Je revins donc chez Sounds Great, et heureusement pour moi, la guitare y était toujours ! Elle délivrait encore le son riche et imposant dont je me souvenais. C’est un instrument épatant, que j’adore et que je conserverai toute ma vie, non seulement parce qu’il est exceptionnel, mais également parce qu’il me rappellera mon père, à présent très malade.

Ainsi commença mon histoire d’amour avec Taylor. J’ai adoré chaque minute que j’ai pu consacrer à ma 814ce, et j’ai hâte de dévorer Wood&Steel quand le facteur me l’apporte. Quand j’ai vu que quelqu’un cherchait à vendre une autre Taylor de série 800, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’essayer.

Il s’agissait d’une 810 LTD de 1997 ; en chemin pour rencontrer le vendeur, j’avoue que j’étais un peu dubitatif, allant même jusqu’à me demander pourquoi je faisais le déplacement. Cependant, quelques secondes après avoir posé mes mains sur la guitare, ma décision était prise. C’était encore un instrument vraiment superbe, tant en termes de look que de sonorités. On m’a dit qu’elle avait été fabriquée pour un salon aux États-Unis, où elle avait été vendue, puis qu’elle avait été rapatriée au Royaume-Uni avec son propriétaire d’origine.

Et voilà, une autre magnifique guitare que je ne vendrai pas non plus et qui tiendra compagnie à ma petite jeunette. Je vais avoir 60 ans l’année prochaine, et j’espère pouvoir en profiter encore quelques années.

J’adore Taylor en tant qu’entreprise. Vous fabriquez des instruments incroyables. D’aucuns peuvent dire que les guitares haut de gamme ne valent pas leur prix, mais la joie et le plaisir que me procurent mes Taylor, ainsi que la richesse et la facilité de jeu, valent chaque centime dépensé.

Continuez comme ça!

Paul Stubbs Cheshire, Royaume-Uni

Premières fois

La toute première Taylor sur laquelle j’ai joué était une 815 [jumbo] de 1985, avec un chevalet moustache, qui appartenait à un ami. La première Taylor dont je suis tombé amoureux, c’était une 514 de 1996. La première Taylor que j’ai acheté, c’était une 314 LTD de 2002 avec un dos et des éclisses en érable marron. Maintenant que j’ai 64 ans, j’ai une 522e. C’est la première guitare qui répond à mes propres besoins : elle possède une petite caisse, avec un diapason court et une table acajou ; elle est géniale pour le jeu en flatpicking et en fingerstyle.

Steve

Ma Baby adorée

J’aime beaucoup le magazine Wood&Steel. Comme tout fan de guitares, j’en possède quelques-unes, notamment de bons vieux instruments comme ma Gibson des années 60 et ma Martin des années 50 ; ainsi qu’Andy le dit dans le dernier numéro [Vol. 102], chaque guitare possède son identité propre. Ce n’est pas pour me vanter que je vous liste mes superbes possessions, mais pour argumenter en faveur de ma petite Baby Taylor adorée.

Selon moi, vous ne rendez pas service à la Baby Taylor en la décrivant comme une guitare pour débutants ; en effet, elle peut délivrer des sons magnifiques simplement jouée en fingerpicking. Toutefois, ce que j’aime vraiment avec ma Baby Taylor, c’est qu’elle peut toujours se trouver à portée de main, où que vous soyez ; vous pouvez la saisir d’une main pour concrétiser une idée musicale subite. Elle est tellement légère que je peux continuer à en jouer sans sangle lorsque je passe de pièce en pièce, quand je recherche un endroit pour écrire des paroles. Autre avantage : je peux la démonter pour qu’elle tienne dans mon bagage cabine lorsque je prends l’avion, et elle est toujours parfaite quand je la remonte une fois arrivé à destination.

P.S. : j’adorerais voir d’autres déclinaisons de la taille Baby… Allez, Andy, je sais que vous prendriez plaisir à laisser libre cours à votre créativité pour créer une magnifique petite guitare parfaite !

David Londres, Royaume-Uni

California Dreaming

Je joue sur des guitares Taylor depuis les années 1990, et je possède actuellement sept de vos modèles (K20c, guitare Parlor 35e anniversaire, 814ce cocobolo en édition limitée, baryton 8 cordes, 618e, 810 et K66ce). Par le passé, j’en ai eu d’autres, que j’ai données à des amis ou à des membres de ma famille. Ma collection comporte également plusieurs guitares Collings, une Guild D-50 et une Bourgeois OM.

Je voulais vous dire à quel point j’ai adoré jouer sur vos instruments, en particulier en live.

J’ai grandi dans les années 1950-60 à Oswego, État de New York, où les hivers sont longs et où mon frère et moi rêvions des plages de Californie. Dès mes neuf ans, j’ai joué sur des électriques Fender. Je savais que la Californie était le berceau de l’innovation, et quand j’ai saisi pour la toute première fois une Taylor (une 810), j’ai ressenti quelque chose de spécial. J’ai bientôt 69 ans, je me réunis encore fréquemment avec mes amis pour jouer… Et j’apporte toujours au moins l’un de vos instruments. Du fond du cœur, merci pour votre savoir-faire de génie.

Le dernier Wood&Steel recelait un excellent article sur les essences de bois de lutherie, et les graphiques étaient époustouflants. Je possède des instruments en koa, érable, acajou, cocobolo et acajou, et l’analyse correspond bien à ce que j’ai en tête.

Peter Boyzuick North Augusta, Caroline du Sud

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“Je voudrais également remercier l’ensemble des propriétaires de guitares Taylor du monde entier pour avoir autant contribué à notre croissance au fil des années. Nous savons que de nombreuses personnes ont commencé la guitare récemment, et nous espérons que tous les nouveaux propriétaires d’instruments Taylor profitent de l’expérience que nous leur offrons. L’un des objectifs de l’actionnariat des employés Taylor est de rester focalisés sur la fabrication des meilleures guitares possibles à l’avenir et de continuer à inciter les gens à s’exprimer par l’intermédiaire de la musique.”

Je viens juste de refermer votre magazine. Kurt, Bob, je lis toujours ce qui concerne vos actions et la direction que vous allez faire prendre à Taylor. La façon dont l’entreprise a grandi… Je trouve ça épatant. Je possède actuellement neuf guitares Taylor. Parmi les 50 instruments dont j’ai fait l’acquisition depuis 1977, ce sont de loin mes préférées.

Il est tout naturel que nous, vos clients, vous soutenions. J’apprécie vos commentaires à leur juste valeur, et je vous souhaite le meilleur pour votre retraite. Bravo à tous les deux.

David

GT, mon amour

Je viens de recevoir ma nouvelle GTe Acajou, envoyée par le magasin Chicago Music Exchange (au service très rapide et courtois). Le son est extrêmement bien équilibré : clair, brillant et articulé sur l’ensemble du spectre, qu’il s’agisse des graves ou des aigus, avec un volume bien plus conséquent que ce à quoi je m’attendais de la part d’un instrument de cette taille.

À 79 ans, la jouabilité est désormais un critère essentiel pour moi, et cette GTe a dépassé mes attentes à tous les égards. Il m’est bien plus facile d’interpréter des morceaux, quelle que soit la position sur la touche ou la difficulté des suites d’accords.

Je joue un mélange éclectique de fingerpicking, de flatpicking et de rythmiques, un style que j’ai acquis en écoutant Chet Atkins, Merle Travis et Scotty More pendant mes années d’apprentissage de l’instrument ; quel que soit le genre (ou le mariage entre tous), cela sonne bien sur la GTe Acajou.

J’ai commencé dans les années 1950 à jouer sur des guitares Kay, Harmony ou encore Stella, passant ensuite à Guild, Gretsch et Gibson lorsque mes finances me le permettaient. Aujourd’hui, en fonction de la qualité, du son, de la jouabilité, de l’apparence, du rapport qualité-prix et des efforts de Taylor en matière de développement durable et de responsabilité d’entreprise, je me tourne principalement vers des guitares Taylor ; tout achat futur sera auprès cette marque.

Merci pour ce nouvel instrument exceptionnel. J’espère que vous envisagerez d’intégrer la GTe à la série 300 ou 500 à l’avenir.

John Clower Monroe, Georgie

Cousines de série 800

Je voulais simplement vous dire à quel point j’aime Taylor, et vous raconter mon histoire avec la marque.

En 2014, mes parents ne furent plus en mesure de s’occuper de leur péniche en acier (canaux britanniques) et la vendirent ; une partie du produit de la vente nous revint, à mon frère et moi.

Avec cet argent en poche, je me mis à la recherche d’une acoustique haut de gamme. J’envisageai principalement d’acquérir une Takamine ou une Martin. Je fis tout d’abord halte à Sounds Great, à proximité de Manchester (la boutique n’existe plus, malheureusement), où j’essayai quelques guitares. Je fus immédiatement interpellé par le son ample et le volume de la 814ce Taylor (2014) que le magasin recelait. J’essayai quelques autres modèles, puis je laissai passer une semaine, après quoi je me rendis chez PMT Salford pour procéder de même. Le magasin était mieux achalandé, toutes marques confondues, mais aucune guitare ne me fit la même impression que la 814ce.

Je revins donc chez Sounds Great, et heureusement pour moi, la guitare y était toujours ! Elle délivrait encore le son riche et imposant dont je me souvenais. C’est un instrument épatant, que j’adore et que je conserverai toute ma vie, non seulement parce qu’il est exceptionnel, mais également parce qu’il me rappellera mon père, à présent très malade.

Ainsi commença mon histoire d’amour avec Taylor. J’ai adoré chaque minute que j’ai pu consacrer à ma 814ce, et j’ai hâte de dévorer Wood&Steel quand le facteur me l’apporte. Quand j’ai vu que quelqu’un cherchait à vendre une autre Taylor de série 800, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’essayer.

Il s’agissait d’une 810 LTD de 1997 ; en chemin pour rencontrer le vendeur, j’avoue que j’étais un peu dubitatif, allant même jusqu’à me demander pourquoi je faisais le déplacement. Cependant, quelques secondes après avoir posé mes mains sur la guitare, ma décision était prise. C’était encore un instrument vraiment superbe, tant en termes de look que de sonorités. On m’a dit qu’elle avait été fabriquée pour un salon aux États-Unis, où elle avait été vendue, puis qu’elle avait été rapatriée au Royaume-Uni avec son propriétaire d’origine.

Et voilà, une autre magnifique guitare que je ne vendrai pas non plus et qui tiendra compagnie à ma petite jeunette. Je vais avoir 60 ans l’année prochaine, et j’espère pouvoir en profiter encore quelques années.

J’adore Taylor en tant qu’entreprise. Vous fabriquez des instruments incroyables. D’aucuns peuvent dire que les guitares haut de gamme ne valent pas leur prix, mais la joie et le plaisir que me procurent mes Taylor, ainsi que la richesse et la facilité de jeu, valent chaque centime dépensé.

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Paul Stubbs Cheshire, Royaume-Uni

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La toute première Taylor sur laquelle j’ai joué était une 815 [jumbo] de 1985, avec un chevalet moustache, qui appartenait à un ami. La première Taylor dont je suis tombé amoureux, c’était une 514 de 1996. La première Taylor que j’ai acheté, c’était une 314 LTD de 2002 avec un dos et des éclisses en érable marron. Maintenant que j’ai 64 ans, j’ai une 522e. C’est la première guitare qui répond à mes propres besoins : elle possède une petite caisse, avec un diapason court et une table acajou ; elle est géniale pour le jeu en flatpicking et en fingerstyle.

Steve

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“Je voudrais également remercier l’ensemble des propriétaires de guitares Taylor du monde entier pour avoir autant contribué à notre croissance au fil des années. Nous savons que de nombreuses personnes ont commencé la guitare récemment, et nous espérons que tous les nouveaux propriétaires d’instruments Taylor profitent de l’expérience que nous leur offrons. L’un des objectifs de l’actionnariat des employés Taylor est de rester focalisés sur la fabrication des meilleures guitares possibles à l’avenir et de continuer à inciter les gens à s’exprimer par l’intermédiaire de la musique.”

Je viens juste de refermer votre magazine. Kurt, Bob, je lis toujours ce qui concerne vos actions et la direction que vous allez faire prendre à Taylor. La façon dont l’entreprise a grandi… Je trouve ça épatant. Je possède actuellement neuf guitares Taylor. Parmi les 50 instruments dont j’ai fait l’acquisition depuis 1977, ce sont de loin mes préférées.

Il est tout naturel que nous, vos clients, vous soutenions. J’apprécie vos commentaires à leur juste valeur, et je vous souhaite le meilleur pour votre retraite. Bravo à tous les deux.

David

GT, mon amour

Je viens de recevoir ma nouvelle GTe Acajou, envoyée par le magasin Chicago Music Exchange (au service très rapide et courtois). Le son est extrêmement bien équilibré : clair, brillant et articulé sur l’ensemble du spectre, qu’il s’agisse des graves ou des aigus, avec un volume bien plus conséquent que ce à quoi je m’attendais de la part d’un instrument de cette taille.

À 79 ans, la jouabilité est désormais un critère essentiel pour moi, et cette GTe a dépassé mes attentes à tous les égards. Il m’est bien plus facile d’interpréter des morceaux, quelle que soit la position sur la touche ou la difficulté des suites d’accords.

Je joue un mélange éclectique de fingerpicking, de flatpicking et de rythmiques, un style que j’ai acquis en écoutant Chet Atkins, Merle Travis et Scotty More pendant mes années d’apprentissage de l’instrument ; quel que soit le genre (ou le mariage entre tous), cela sonne bien sur la GTe Acajou.

J’ai commencé dans les années 1950 à jouer sur des guitares Kay, Harmony ou encore Stella, passant ensuite à Guild, Gretsch et Gibson lorsque mes finances me le permettaient. Aujourd’hui, en fonction de la qualité, du son, de la jouabilité, de l’apparence, du rapport qualité-prix et des efforts de Taylor en matière de développement durable et de responsabilité d’entreprise, je me tourne principalement vers des guitares Taylor ; tout achat futur sera auprès cette marque.

Merci pour ce nouvel instrument exceptionnel. J’espère que vous envisagerez d’intégrer la GTe à la série 300 ou 500 à l’avenir.

John Clower Monroe, Georgie

Cousines de série 800

Je voulais simplement vous dire à quel point j’aime Taylor, et vous raconter mon histoire avec la marque.

En 2014, mes parents ne furent plus en mesure de s’occuper de leur péniche en acier (canaux britanniques) et la vendirent ; une partie du produit de la vente nous revint, à mon frère et moi.

Avec cet argent en poche, je me mis à la recherche d’une acoustique haut de gamme. J’envisageai principalement d’acquérir une Takamine ou une Martin. Je fis tout d’abord halte à Sounds Great, à proximité de Manchester (la boutique n’existe plus, malheureusement), où j’essayai quelques guitares. Je fus immédiatement interpellé par le son ample et le volume de la 814ce Taylor (2014) que le magasin recelait. J’essayai quelques autres modèles, puis je laissai passer une semaine, après quoi je me rendis chez PMT Salford pour procéder de même. Le magasin était mieux achalandé, toutes marques confondues, mais aucune guitare ne me fit la même impression que la 814ce.

Je revins donc chez Sounds Great, et heureusement pour moi, la guitare y était toujours ! Elle délivrait encore le son riche et imposant dont je me souvenais. C’est un instrument épatant, que j’adore et que je conserverai toute ma vie, non seulement parce qu’il est exceptionnel, mais également parce qu’il me rappellera mon père, à présent très malade.

Ainsi commença mon histoire d’amour avec Taylor. J’ai adoré chaque minute que j’ai pu consacrer à ma 814ce, et j’ai hâte de dévorer Wood&Steel quand le facteur me l’apporte. Quand j’ai vu que quelqu’un cherchait à vendre une autre Taylor de série 800, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’essayer.

Il s’agissait d’une 810 LTD de 1997 ; en chemin pour rencontrer le vendeur, j’avoue que j’étais un peu dubitatif, allant même jusqu’à me demander pourquoi je faisais le déplacement. Cependant, quelques secondes après avoir posé mes mains sur la guitare, ma décision était prise. C’était encore un instrument vraiment superbe, tant en termes de look que de sonorités. On m’a dit qu’elle avait été fabriquée pour un salon aux États-Unis, où elle avait été vendue, puis qu’elle avait été rapatriée au Royaume-Uni avec son propriétaire d’origine.

Et voilà, une autre magnifique guitare que je ne vendrai pas non plus et qui tiendra compagnie à ma petite jeunette. Je vais avoir 60 ans l’année prochaine, et j’espère pouvoir en profiter encore quelques années.

J’adore Taylor en tant qu’entreprise. Vous fabriquez des instruments incroyables. D’aucuns peuvent dire que les guitares haut de gamme ne valent pas leur prix, mais la joie et le plaisir que me procurent mes Taylor, ainsi que la richesse et la facilité de jeu, valent chaque centime dépensé.

Continuez comme ça!

Paul Stubbs Cheshire, Royaume-Uni

Premières fois

La toute première Taylor sur laquelle j’ai joué était une 815 [jumbo] de 1985, avec un chevalet moustache, qui appartenait à un ami. La première Taylor dont je suis tombé amoureux, c’était une 514 de 1996. La première Taylor que j’ai acheté, c’était une 314 LTD de 2002 avec un dos et des éclisses en érable marron. Maintenant que j’ai 64 ans, j’ai une 522e. C’est la première guitare qui répond à mes propres besoins : elle possède une petite caisse, avec un diapason court et une table acajou ; elle est géniale pour le jeu en flatpicking et en fingerstyle.

Steve

Un coup de chance

Le 6 décembre de l’année passée, vous avez fabriqué une 224ce-K DLX dotée d’une table en koa massif. À un moment donné, cette guitare s’est retrouvée en vente chez Music Villa, à Bozeman, dans le Montana. J’ai eu la chance que l’acheteur original n’ait, semble-t-il, pas aimé cet instrument. Qui sait, c’était peut-être un cadeau ?

La semaine dernière, le premier propriétaire l’a échangée contre une Telecaster. Il ne sait pas ce qu’il perd ! J’ai acheté ce modèle le jour de son échange, et j’estime avoir eu beaucoup de chance. Je suis également l’heureux propriétaire d’une Martin D-35 toute en bois massif de 1975, d’une Gibson Dove toute en bois massif du début des années 1980 et d’une Ramirez 1a de 1974, avec des éclisses laminées en poirier. Ces trois guitares ont un son exceptionnel et quelques singularités, comme toutes les guitares de qualité. Toutefois, vous avez créé un instrument spectaculaire en laminé, avec un prix défiant toute concurrence.

Un son. À tomber. PAR TERRE. Et à peine sorti de l’étui ! Pas besoin d’attendre 10 ans pour que les sonorités s’épanouissent. Les accordages alternatifs sonnent du tonnerre, en particulier en double drop D ; la chanson « Don’t Let It Bring You Down » de Neil Young vous tirera une larme. La guitare reste accordée. La reproduction du son acoustique est bonne quand je me sers du micro. De plus, je n’ai jamais eu d’instrument que je considérais comme une « belle » guitare ; c’est chose faite. Le travail de la surface est parfait (et apparemment, il résiste à la sueur !).

Enfin, le personnel de Music Villa n’aurait pas pu être plus à l’écoute. Leur choix d’instruments est sans égal. Gino, Paul, Abel et Josh ont été très attentifs, sympas et toujours disponibles. Ils m’ont installé dans une salle de jeu avec toutes les guitares sur lesquelles je voulais jouer. Ils n’ont rien dit quand mes amis et moi-même les avons rendus dingues au cours de deux visites, avec au total six heures d’essais avant que je sois en mesure de prendre une décision ! Un service incomparable !

Veuillez accepter mes remerciements.

Robert Roeper Missoula, Montana

C’est la bonne

J’ai possédé quelques guitares, jamais de modèle haut de gamme. J’ai dû cesser de jouer pendant quelques années car je souffrais d’arthrite. Grâce à la magie des médicaments et d’un excellent rhumatologue, j’ai pu recommencer la guitare. Pendant ce hiatus, je n’ai pas remarqué que le manche de ma guitare se déformait fortement ; il était donc temps d’en changer. J’avais lu des histoires de gars qui saisissaient une guitare et se disaient « ça y est, c’est la bonne, la guitare que j’ai cherchée pendant toute ma vie ». J’ai fait l’acquisition d’une GS Mini Palissandre… Et voilà, les sonorités ne pourraient être meilleures, et la facilité de jeu est juste exceptionnelle. Bien que mon arthrite ne me fasse plus souffrir, mes doigts recourbés ne me font pas de cadeau ; toutefois, le manche mince me permet au moins de jouer, même si certains jours, il m’est presque impossible de jouer un Sol7 ou un Fa en barré. Merci de m’avoir rendu le sourire.

Gord Lefort

Une guitare exceptionnelle, d’excellents médiators

Bonjour de Belgique ! Je viens juste d’acquérir une nouvelle Taylor, un modèle de l’exceptionnelle série 300. Je possède déjà une 314ce, une 355ce et une Academy 12e-N ; il s’agit là de ma première guitare V-Class, une superbe 327e. Si j’étais plus riche, j’aurais choisi une 524ce, mais elle est bien au-dessus de mon budget. En effet, je travaille comme musicien freelance (mais non professionnel). Néanmoins, la 327e m’a tout simplement épaté, car c’est un instrument aux sonorités très chaleureuses. J’ai vu quelques essais sur le net, où les instruments V-Class étaient décrits comme présentent une « réponse légèrement plus faible dans les graves », mais croyez-moi : la réponse de ma 327e dans les graves contredit ces critiques ! Elle tonne comme mon ancienne [autre marque], mais de manière plus équilibrée, sans grignoter sur les aigus. Elle est géniale en fingerstyle, et tout aussi sympa à jouer au médiator.

Alors que j’avais plus ou moins cessé d’utiliser des médiators il y a près de 10 ans (je trouvais que les plectres standard, quel[le] que fût leur épaisseur, leur matériau ou leur marque, délivrait un son criard et faiblard), j’ai découvert que Taylor en proposait également. J’ai commandé quelques jeux de divers matériaux et épaisseurs, et surprise ! Ceux en Thermex me permettent de délivrer un son jazz d’exception, et mes acoustiques ont pris vie comme jamais auparavant, avec un son chaleureux sans perte de clarté et de précision.

Cela fait près de 50 ans que je suis guitariste, j’étais bien évidemment conscient que l’épaisseur et le matériau d’un plectre ont une grande influence sur le son d’une guitare. Mais ces nouveautés ont surpassé toutes mes attentes, et ont ravivé mon enthousiasme pour les solos rapides et techniques (en acoustique), quelque chose que je n’avais pas fait depuis plus de 10 ans !

Bien que Taylor soit l’un des leaders de la fabrication de guitares acoustiques les plus sophistiquées au monde, je vous suis reconnaissant de consacrer du temps et de l’énergie à quelque chose d’aussi humble qu’un médiator. C’est là que commence notre son, notre voix de musicien. Les bois et les micros sur lesquels reposent les cordes peuvent être onéreux, mais si ce qui fait vibrer ces cordes en premier lieu ne sonne pas bien, ces merveilles technologiques et ce savoir-faire dans le travail du bois ne peuvent qu’amplifier ces horreurs.

Marc Steenhaut

Futur héritage

Au cours des deux derniers mois, j’ai commandé et renvoyé cinq guitares différentes auprès de boutiques en ligne. Je n’ai jamais eu de guitare coûtant plus de 1 000 dollars ; j’étais prêt à trouver une bonne acoustique à chérir et à léguer à ma descendance. J’ai essayé [plusieurs marques], et aucune d’entre elles n’a répondu à mes besoins de jeu, ni satisfait mes préférences visuelles. Je suis finalement tombé sur une 317e Grand Pacific Taylor, et je l’ai commandée. À cet instant, mes attentes étaient peu élevées. Quand la guitare est arrivée, j’ai ouvert le carton et j’ai tout de suite été conquis par l’étui Country Western. Je l’ai ouvert, et j’ai inspecté l’instrument sur toutes les coutures. PARFAITE ! Une fabrication superbe. Jusqu’ici, tout allait bien. Après l’avoir jouée, j’ai été épaté par son manche et sa facilité de jeu. C’est sans hésiter le manche de guitare acoustique le plus confortable sur lequel j’aie jamais joué. L’instrument délivre exactement les sonorités que je souhaite entendre, et plus encore. Je ne suis pas un musicien célèbre, je ne suis pas connu sur les réseaux sociaux, mais j’ai dit à tout mon entourage le bien que je pensais de cet instrument. Je sais que je ne suis qu’une personne parmi d’autres et que mon témoignage ne signifie peut-être pas grand-chose, mais Taylor vient de gagner un client à vie. Cette guitare vaut chaque centime durement gagné. Je vous remercie du fond du cœur !

Chris Yonker

Courrier des lecteurs

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Un système de soutien

Note du rédacteur : ce message s’adressait à l’origine au co-fondateur Kurt Listug. Il fait référence à la dernière section de sa rubrique du Vol. 102 / Numéro 1 de cette année:

“Je voudrais également remercier l’ensemble des propriétaires de guitares Taylor du monde entier pour avoir autant contribué à notre croissance au fil des années. Nous savons que de nombreuses personnes ont commencé la guitare récemment, et nous espérons que tous les nouveaux propriétaires d’instruments Taylor profitent de l’expérience que nous leur offrons. L’un des objectifs de l’actionnariat des employés Taylor est de rester focalisés sur la fabrication des meilleures guitares possibles à l’avenir et de continuer à inciter les gens à s’exprimer par l’intermédiaire de la musique.”

Je viens juste de refermer votre magazine. Kurt, Bob, je lis toujours ce qui concerne vos actions et la direction que vous allez faire prendre à Taylor. La façon dont l’entreprise a grandi… Je trouve ça épatant. Je possède actuellement neuf guitares Taylor. Parmi les 50 instruments dont j’ai fait l’acquisition depuis 1977, ce sont de loin mes préférées.

Il est tout naturel que nous, vos clients, vous soutenions. J’apprécie vos commentaires à leur juste valeur, et je vous souhaite le meilleur pour votre retraite. Bravo à tous les deux.

David

GT, mon amour

Je viens de recevoir ma nouvelle GTe Acajou, envoyée par le magasin Chicago Music Exchange (au service très rapide et courtois). Le son est extrêmement bien équilibré : clair, brillant et articulé sur l’ensemble du spectre, qu’il s’agisse des graves ou des aigus, avec un volume bien plus conséquent que ce à quoi je m’attendais de la part d’un instrument de cette taille.

À 79 ans, la jouabilité est désormais un critère essentiel pour moi, et cette GTe a dépassé mes attentes à tous les égards. Il m’est bien plus facile d’interpréter des morceaux, quelle que soit la position sur la touche ou la difficulté des suites d’accords.

Je joue un mélange éclectique de fingerpicking, de flatpicking et de rythmiques, un style que j’ai acquis en écoutant Chet Atkins, Merle Travis et Scotty More pendant mes années d’apprentissage de l’instrument ; quel que soit le genre (ou le mariage entre tous), cela sonne bien sur la GTe Acajou.

J’ai commencé dans les années 1950 à jouer sur des guitares Kay, Harmony ou encore Stella, passant ensuite à Guild, Gretsch et Gibson lorsque mes finances me le permettaient. Aujourd’hui, en fonction de la qualité, du son, de la jouabilité, de l’apparence, du rapport qualité-prix et des efforts de Taylor en matière de développement durable et de responsabilité d’entreprise, je me tourne principalement vers des guitares Taylor ; tout achat futur sera auprès cette marque.

Merci pour ce nouvel instrument exceptionnel. J’espère que vous envisagerez d’intégrer la GTe à la série 300 ou 500 à l’avenir.

John Clower Monroe, Georgie

Cousines de série 800

Je voulais simplement vous dire à quel point j’aime Taylor, et vous raconter mon histoire avec la marque.

En 2014, mes parents ne furent plus en mesure de s’occuper de leur péniche en acier (canaux britanniques) et la vendirent ; une partie du produit de la vente nous revint, à mon frère et moi.

Avec cet argent en poche, je me mis à la recherche d’une acoustique haut de gamme. J’envisageai principalement d’acquérir une Takamine ou une Martin. Je fis tout d’abord halte à Sounds Great, à proximité de Manchester (la boutique n’existe plus, malheureusement), où j’essayai quelques guitares. Je fus immédiatement interpellé par le son ample et le volume de la 814ce Taylor (2014) que le magasin recelait. J’essayai quelques autres modèles, puis je laissai passer une semaine, après quoi je me rendis chez PMT Salford pour procéder de même. Le magasin était mieux achalandé, toutes marques confondues, mais aucune guitare ne me fit la même impression que la 814ce.

Je revins donc chez Sounds Great, et heureusement pour moi, la guitare y était toujours ! Elle délivrait encore le son riche et imposant dont je me souvenais. C’est un instrument épatant, que j’adore et que je conserverai toute ma vie, non seulement parce qu’il est exceptionnel, mais également parce qu’il me rappellera mon père, à présent très malade.

Ainsi commença mon histoire d’amour avec Taylor. J’ai adoré chaque minute que j’ai pu consacrer à ma 814ce, et j’ai hâte de dévorer Wood&Steel quand le facteur me l’apporte. Quand j’ai vu que quelqu’un cherchait à vendre une autre Taylor de série 800, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller l’essayer.

Il s’agissait d’une 810 LTD de 1997 ; en chemin pour rencontrer le vendeur, j’avoue que j’étais un peu dubitatif, allant même jusqu’à me demander pourquoi je faisais le déplacement. Cependant, quelques secondes après avoir posé mes mains sur la guitare, ma décision était prise. C’était encore un instrument vraiment superbe, tant en termes de look que de sonorités. On m’a dit qu’elle avait été fabriquée pour un salon aux États-Unis, où elle avait été vendue, puis qu’elle avait été rapatriée au Royaume-Uni avec son propriétaire d’origine.

Et voilà, une autre magnifique guitare que je ne vendrai pas non plus et qui tiendra compagnie à ma petite jeunette. Je vais avoir 60 ans l’année prochaine, et j’espère pouvoir en profiter encore quelques années.

J’adore Taylor en tant qu’entreprise. Vous fabriquez des instruments incroyables. D’aucuns peuvent dire que les guitares haut de gamme ne valent pas leur prix, mais la joie et le plaisir que me procurent mes Taylor, ainsi que la richesse et la facilité de jeu, valent chaque centime dépensé.

Continuez comme ça!

Paul Stubbs Cheshire, Royaume-Uni

Premières fois

La toute première Taylor sur laquelle j’ai joué était une 815 [jumbo] de 1985, avec un chevalet moustache, qui appartenait à un ami. La première Taylor dont je suis tombé amoureux, c’était une 514 de 1996. La première Taylor que j’ai acheté, c’était une 314 LTD de 2002 avec un dos et des éclisses en érable marron. Maintenant que j’ai 64 ans, j’ai une 522e. C’est la première guitare qui répond à mes propres besoins : elle possède une petite caisse, avec un diapason court et une table acajou ; elle est géniale pour le jeu en flatpicking et en fingerstyle.

Steve

Un coup de chance

Le 6 décembre de l’année passée, vous avez fabriqué une 224ce-K DLX dotée d’une table en koa massif. À un moment donné, cette guitare s’est retrouvée en vente chez Music Villa, à Bozeman, dans le Montana. J’ai eu la chance que l’acheteur original n’ait, semble-t-il, pas aimé cet instrument. Qui sait, c’était peut-être un cadeau ?

La semaine dernière, le premier propriétaire l’a échangée contre une Telecaster. Il ne sait pas ce qu’il perd ! J’ai acheté ce modèle le jour de son échange, et j’estime avoir eu beaucoup de chance. Je suis également l’heureux propriétaire d’une Martin D-35 toute en bois massif de 1975, d’une Gibson Dove toute en bois massif du début des années 1980 et d’une Ramirez 1a de 1974, avec des éclisses laminées en poirier. Ces trois guitares ont un son exceptionnel et quelques singularités, comme toutes les guitares de qualité. Toutefois, vous avez créé un instrument spectaculaire en laminé, avec un prix défiant toute concurrence.

Un son. À tomber. PAR TERRE. Et à peine sorti de l’étui ! Pas besoin d’attendre 10 ans pour que les sonorités s’épanouissent. Les accordages alternatifs sonnent du tonnerre, en particulier en double drop D ; la chanson « Don’t Let It Bring You Down » de Neil Young vous tirera une larme. La guitare reste accordée. La reproduction du son acoustique est bonne quand je me sers du micro. De plus, je n’ai jamais eu d’instrument que je considérais comme une « belle » guitare ; c’est chose faite. Le travail de la surface est parfait (et apparemment, il résiste à la sueur !).

Enfin, le personnel de Music Villa n’aurait pas pu être plus à l’écoute. Leur choix d’instruments est sans égal. Gino, Paul, Abel et Josh ont été très attentifs, sympas et toujours disponibles. Ils m’ont installé dans une salle de jeu avec toutes les guitares sur lesquelles je voulais jouer. Ils n’ont rien dit quand mes amis et moi-même les avons rendus dingues au cours de deux visites, avec au total six heures d’essais avant que je sois en mesure de prendre une décision ! Un service incomparable !

Veuillez accepter mes remerciements.

Robert Roeper Missoula, Montana

C’est la bonne

J’ai possédé quelques guitares, jamais de modèle haut de gamme. J’ai dû cesser de jouer pendant quelques années car je souffrais d’arthrite. Grâce à la magie des médicaments et d’un excellent rhumatologue, j’ai pu recommencer la guitare. Pendant ce hiatus, je n’ai pas remarqué que le manche de ma guitare se déformait fortement ; il était donc temps d’en changer. J’avais lu des histoires de gars qui saisissaient une guitare et se disaient « ça y est, c’est la bonne, la guitare que j’ai cherchée pendant toute ma vie ». J’ai fait l’acquisition d’une GS Mini Palissandre… Et voilà, les sonorités ne pourraient être meilleures, et la facilité de jeu est juste exceptionnelle. Bien que mon arthrite ne me fasse plus souffrir, mes doigts recourbés ne me font pas de cadeau ; toutefois, le manche mince me permet au moins de jouer, même si certains jours, il m’est presque impossible de jouer un Sol7 ou un Fa en barré. Merci de m’avoir rendu le sourire.

Gord Lefort

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Letters

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Design intérieur

Je m’essaye actuellement à la photographie de natures mortes. Je me disais que vous aimeriez peut-être savoir ce qui se passe dans vos guitares une fois qu’elles quittent l’usine ! Au fait, merci pour les vidéos relatives à l’entretien que vous publiez sur YouTube. Je viens juste de remettre des cordes sur cette guitare en suivant l’un des guides.
 interior still-life photo of Taylor acoustic guitar

Steve Hyde

Bienvenue dans la famille

Je suis un vétéran mutilé de 54 ans, également auteur ; je n’ai jamais joué de guitare auparavant, mais j’ai toujours voulu apprendre. J’ai finalement atteint un moment de ma vie où je peux pleinement me consacrer à devenir un musicien accompli. Certes, je suis plus vieux, mais bien plus impliqué ! Je pratique tous les jours, et j’ai hâte de pouvoir jouer mon premier vrai morceau.

Après avoir fait pas mal de recherches, écouté plusieurs marques de guitares et étudié des comparatifs, mon choix s’est porté sur les Taylor. La 814ce est devenue mon modèle préféré après l’avoir comparée à d’autres instruments et, samedi dernier, j’ai reçu ma 814ce V-Class.

Au cours de mon aventure visant à faire de moi un grand guitariste, j’apprends tout au sujet de Taylor ; en effet, je suis convaincu que l’histoire, le patrimoine et le portrait des gens derrière la marque feront de moi un meilleur musicien et une meilleure personne.

Ah, et aussi : j’adore l’émission Taylor Primetime pour sa pédagogie, son côté amusant, ses connaissances, sa « geekerie » et tous les musiciens qui participent à chaque épisode.

James A. Murphy

Manipulée avec soin

Je suis bien trop vieux pour écrire des lettres de fan, mais je dois dire que je suis absolument époustouflé par le service Taylor. Il y a 20 ans de cela, ma femme m’a offert une 410ce LTD à une période de notre vie où nous ne roulions pas sur l’or. C’est mon bien le plus précieux. J’étais tout stressé lorsque je l’ai envoyée de chez moi (nord de l’État de New York) à chez vous, en Californie, afin qu’elle soit entretenue ; quand elle est revenue, j’avais en gros entre les mains une nouvelle guitare. Woah ! J’étais impressionné.

Ces temps-ci, trouver des gens qui font réellement ce qu’ils prétendent savoir faire est un vrai challenge, alors trouver des personnes qui font encore mieux que ce à quoi on s’attend… C’est un vrai bonheur. Les employés de votre service Entretien font partie de cette catégorie. Qu’il s’agisse de la communication rapide, efficace et constructive avec Adam Bernal, de la communication et des dispositions exceptionnelles prises par Mike Puckett pour le transport aller-retour de l’instrument, en passant par la patience et les compétences de haut vol de Chris Bearden du service Entretien… Votre équipe a été épatante. Je ne sais pas combien vous payez vos employés, mais ce n’est pas assez !

Jim Meade

Une noble voie

L’un de mes amis a acheté une Taylor il y a quelques années de cela, et il me passe toujours son exemplaire de Wood&Steel lorsqu’il a fini de le lire. Je dois vous dire à quel point je suis impressionné non seulement par vos guitares, mais également par votre entreprise. Votre initiative d’arboriculture allait déjà au-delà de l’appel du devoir… Et maintenant, voilà que vous vous lancez dans un programme de recyclage des arbres urbains ! L’article de Scott Paul décrivant le partenariat avec West Coast Arborists m’a vraiment porté le coup de grâce : Taylor est LA référence. Combien de fabricants d’instruments de musique peuvent-ils se targuer d’avoir un poste de directeur de la pérennité des ressources naturelles ? Ce ne sont pas que des mots en l’air : vous concrétisez vos idées. En tant que personne qui promeut les forêts urbaines, qui adore travailler le bois et qui joue parfois de la guitare, je me suis senti obligé de vous écrire et de vous remercier.

Un jour, j’aspire à posséder moi aussi une guitare Taylor. Quand ce sera le cas, je ressentirai une grande satisfaction non seulement à savoir que l’instrument a été conçu avec un soin et une réflexion extraordinaires (ce qui est évident lorsque l’on lit les rubriques de Bob et d’Andy), mais également que l’achat d’une Taylor participe au soutien d’une excellente entreprise. Un immense merci pour la superbe voie que vous tracez dans cet univers. Sachez que vos efforts sont appréciés !

Craig Haggart Sunnyvale, California

La magie des micros

J’écris cette lettre en réponse à l’article de Gabriel O’Brien dans Wood&Steel [Vol. 98 / Numéro 3], « Enregistrement d’une guitare acoustique : présentation ». Cet excellent article montre avec à-propos la méthode éprouvée de placement d’un micro cardioïde à environ 30 cm de la table, avec l’extrémité un tout petit peu en décalé par rapport à la rosace. On peut toujours s’attendre à un excellent résultat naturel avec cette capture à canal unique (mono).

Pour une méthode « stéréo », l’article mentionne rapidement la possibilité de recourir à une configuration XY ; cependant, je trouve que ce XY capture toujours plus ou moins l’instrument en mono (même lorsque les canaux sont entièrement développés, la guitare semble centrée de manière compacte), tout en offrant une large diffusion « stéréo » de l’environnement acoustique autour de la guitare. C’est chouette ! Mais…

Il y a des années, j’ai été pionnier d’une méthode d’enregistrement de guitare acoustique avec deux micros, qui offre deux canaux aux sons distincts pouvant être très efficaces dans un mix. L’illustration ci-dessous vous montre l’approche générale :

Le Micro 1, qui peut véritablement être pointé quelques frettes en retrait depuis l’extrémité de la touche, capture ce que j’appellerais un son « arrondi », avec beaucoup de graves et des aigus lumineux, scintillants, mais pas trop de mediums « charnus ».

Le Micro 2, positionné à proximité du centre de l’extrémité inférieure, capture très peu de basses et absolument aucun aigu scintillant, mais enregistre efficacement les mediums charnus de l’instrument ; ainsi, il comble la plage du spectre qui manque dans le signal du Micro 1.

De cette manière, les deux canaux permettent tout une gamme d’options intéressantes en matière de mixage ou d’association, telles que :

  • Vaste diffusion des sonorités de la guitare sur des enceintes stéréo ;
  • Meilleur ajustement de l’équilibre sonore pour répondre à une orchestration donnée ; etc.

Comme les micros pointent vers différentes sources de rayonnement depuis la table, les signaux n’interagissent pas d’une manière entraînant de nombreux problèmes de phase lorsqu’ils sont additionnés en mono.

Je voulais vous en faire part.

Larry Revit

Gabriel répond : Larry, merci pour ces idées ! J’ai mentionné l’enregistrement XY concomitant en tant qu’approche populaire pour la guitare acoustique avec plusieurs micros, tout comme j’aurais parlé de la méthode ORTF ou de deux micros espacés, comme ce que vous décrivez. Vous avez raison de dire que cela ne sonne pas vraiment « stéréo ». J’imagine que de nombreuses personnes recourent au positionnement XY car il simule l’audition humaine. Cependant, lorsque j’enregistre des guitares, mon objectif dépend des circonstances. Pour un travail en studio, j’essaie généralement de placer quelque chose au sein d’un mix plus conséquent. Lors d’un contenu vidéo, je tente habituellement d’offrir aux auditeurs mon impression d’écoute quant aux sons de la guitare, afin qu’ils soient en mesure de déterminer s’il s’agit d’une guitare qu’ils souhaiteraient essayer en magasin, voire acheter (distinction importante), et de leur montrer ce qu’une guitare peut faire. En studio, pour des configurations de guitare solo ou compositeur/interprète, où la guitare acoustique est l’instrument principal, je me sers souvent de deux à trois micros. Je commence généralement par le premier dans la position que je vous ai décrite précédemment : à environ 30 cm de la partie supérieure, du côté des aigus. Lorsque j’ajoute un deuxième micro, je le place souvent à hauteur d’épaule du bras qui gratte les cordes, avec un angle légèrement orienté vers le chevalet, à 90-120 cm, obéissant ainsi à la règle du trois pour un. J’approfondirai tout cela dans un autre article ! Quoi qu’il en soit, merci de nous avoir fait part de votre expérience. J’ai hâte d’essayer la technique que vous suggérez !

Tiffany en time-lapse

Je voulais juste vous transmettre une photo sympa que nous avions prise dans le Dakota du Sud. Je me suis dit que cela vous ferait plaisir. Je joue sur des guitares Taylor depuis ma toute première et époustouflante Baby Taylor Swift, que j’ai eue quand j’avais 8 ans. (J’ai également inclus cette photo.) Depuis lors, j’ai composé et sorti des morceaux, je me suis produite sur scène et je réalise mon rêve, tout simplement. Je me rends à Nashville aussi souvent que possible, et j’ai l’intention d’aller m’y installer ces prochaines années. J’espère qu’un jour, j’aurai mes propres guitares Taylor signature Tiffany Johnson ! J’adore composer et me produire avec vos guitares.

Tiffany Johnson, Artiste/Compositrice

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Concert à domicile

Mon fils Uriah et moi avons été coincés en quarantaine pendant 10 jours, et nous avons passé d’innombrables heures à jouer de la guitare. Ce gamin est devenu accro à la guitare. Je vous jure : il pouvait m’entendre commencer à jouer depuis l’autre côté de la maison, et accourait avec sa guitare à la main. C’était génial !

Chris Cassidy 

Un amour de 12 cordes

Aujourd’hui, j’ai saisi ma nouvelle 652ce WHB Builder’s Edition. C’est une guitare fantastique. Auparavant, je possédais une 562ce, la meilleure 12 cordes au monde. Mais cette 652ce… C’est vraiment quelque chose ! Merci Andy, vous avez vraiment fait du bon boulot avec la conception de cette guitare.

John Carter

Wood&Steel en ligne

Je ressens vraiment quelque chose de particulier quand je reçois un nouveau numéro imprimé de Wood&Steel dans ma boîte aux lettres. En général, je le promène avec moi de partout, et je le lis de bout en bout. Aujourd’hui, j’étais sur votre site Internet et j’ai découvert une nouvelle version électronique de votre magazine : 2020 Numéro 2. Je n’ai pas pu m’empêcher de cliquer sur le lien pour découvrir les nouveautés du monde merveilleux de Taylor !

Ainsi, dans cette version numérique, j’ai rapidement jeté un œil à une section incontournable pour moi : « Demandez à Bob ». J’en suis resté bouche bée ! Pas seulement parce que Bob est vraiment bon quand il détaille sa réponse quant à la question de l’épicéa « griffe d’ours », mais aussi parce que les images et les vidéos supplémentaires prodiguées par le fournisseur font une différence fondamentale lorsqu’il s’agit d’expliquer de manière facile à comprendre. C’est une belle réussite ! Servez-vous de cette technologie à l’avenir, et cela continuera de nous enseigner des choses à tous !

Bart Marshel Goodyear, Arizona

Note du rédacteur : ravi que ça vous ait plu, Bart. Bob répond d’ailleurs à plus de questions en vidéo dans l’édition numérique en ligne de ce numéro.

Tout est dans les détails

Dans l’épisode « Strings and Picks » (Des cordes et des médiators) de Primetime Live, on a demandé à Andy Powers pour quelle raison les guitares Taylor étaient livrées équipées de cordes Elixir. Andy a en partie répondu que le recours à des cordes dotées d’un revêtement (comme les Elixir) lui permettait de savoir que ses guitares arriveraient chez le revendeur avec des cordes qui sonnaient bien. Je voulais simplement vous dire à quel point cette idée était bonne. Il y a deux ans, je me suis rendu chez Guitar Center à Tyler, au Texas, car j’étais décidé à acheter une [autre marque de guitare]. J’avais fait mes recherches, et ce que j’avais appris sur les modèles « bas de gamme » m’allait bien. Quand je suis arrivé au magasin et que j’ai trouvé l’instrument qui m’intéressait, je l’ai saisi, j’ai joué un accord… Et le son était nul. J’ai regardé la guitare, et je me suis rendu compte que les cordes étaient sales et abîmées. Merci bien, mais non merci. J’ai donc joué sur toutes les guitares (de moins de 1 250 $) du magasin, à la recherche d’un instrument qui répondrait à mon besoin. J’ai repéré la 110ce de Taylor, et l’ai essayée. Ça sonnait superbement bien. Je n’avais jamais envisagé d’acquérir une Taylor… Jusqu’à ce moment. Des cordes en bon état : c’est ce qui a fait que cette guitare s’est vendue ce jour. C’est ce que j’apprécie avec Taylor : l’attention au détail.

Marshall Endsley Athens, Texas

Nom de code : Project Ebony

Note du rédacteur : ce courrier a été rédigé par un propriétaire de Taylor de longue date, et connaissance de Bob Taylor. Cela fait des années que les deux hommes communiquent par e-mail.

Bob, je voulais te faire part de quelque chose, je pense que ça va te plaire. Comme tu t’en souviens peut-être, je travaille dans le domaine de la stratégie entrepreneuriale chez Mitsubishi Chemical, où je me concentre sur la planification à long terme et les fusions/acquisitions. La semaine dernière, nous avons annoncé notre dernière acquisition : une entreprise de recyclage de fibre de carbone en Allemagne. Lorsque nous travaillons sur des projets d’acquisition, nous recourons toujours à un nom de code interne pour éviter d’employer le véritable nom de l’entreprise. Dans ce cas, le nom de code était « Project Ebony », et tu en étais la source d’inspiration. J’admire le travail que tu effectues au Cameroun en matière de préservation et d’utilisation responsable de l’ébène et ce, depuis que tu y as réalisé tes premiers investissements. Je me souviens avoir lu des informations quant à l’immense pourcentage d’ébène qui finissait au rebut car elle n’était pas parfaitement noire, et ta conviction à vouloir te servir du pouvoir que tu as sur le marché pour faire évoluer les mentalités.

L’univers de la fibre de carbone est dans la même situation. Près de 30 % de la fibre de carbone fabriquée à l’échelle mondiale finit au rebut et est généralement acheminée vers des sites d’enfouissement, car les gens n’ont pas accès à de la fibre de carbone recyclée ou ne lui font pas confiance. Il y a trois ans, j’ai décidé qu’il s’agissait d’un problème pour une grande entreprise, et que seul quelqu’un doté d’une puissance de marché adaptée pouvait le résoudre. J’ai donc entrepris de faire quelque chose à ce sujet. Depuis lors, nous avons fait un certain nombre d’investissements dans la mise en place d’une chaîne d’approvisionnement complète pour ces déchets et ce, de manière à leur offrir une seconde vie ; Project Ebony représentait notre geste le plus récent en ce sens. Nous avons construit une nouvelle usine à Mesa, en Arizona, qui fabriquera des composés avec de la fibre recyclée, et nous sommes actuellement en train de bâtir un nouveau site en Allemagne, qui s’en servira pour élaborer de grands panneaux rigides pour les domaines de l’automobile et de l’électronique grand public. Nous ne touchons pas encore au but, mais nous nous en approchons. Cela représentera le couronnement de ma carrière.

Lorsque mes collègues japonais m’ont demandé pour quelle raison j’avais intitulé cette initiative « Project Ebony », je leur ai expliqué ton travail avec l’ébène et la manière dont tu avais employé la réputation de ta marque et ta puissance sur le marché pour faire toute la différence. Je voulais t’en faire part pour que tu saches que ton travail admirable fait des émules dans des domaines assez inattendus – quelque chose dont tu peux être fier ! Merci pour l’inspiration, et continue comme ça !

Ron Denoo

Réponse de Bob : Ron, c’est un programme fantastique que tu as lancé. C’est génial d’avoir la vision et la position permettant de couronner de succès de telles initiatives. Je suis content pour toi. Et merci de me dire que mon travail a inspiré le tien ! Je me réfère aux miens comme à des projets de démonstration. Je dis à notre équipe et à la presse que bien qu’on ne puisse pas changer le monde avec nos projets à petite échelle, nous pouvons peut-être inspirer des entreprises plus importantes, plus performantes et plus compétentes à nous suivre avec leurs propres projets. C’est là que se produit le véritable impact ! Et je dis toujours que les choses arrivent parce que quelqu’un veut qu’elles surviennent. Ton récit est une nouvelle preuve du concept selon lequel nous avons eu une influence sur quelque chose de bien. Merci, mon ami. Ça me fait aller de l’avant.

Cadeau d’anniversaire

Aujourd’hui, ma guitare fête ses 15 ans. Le 20 juillet 2005, ma 714ce a pris la route entre l’usine d’El Cajon et ma maison à University City [à San Diego]. Ce n’est pas une longue distance, quand je pense aux 160 000 guitares que Taylor a créées l’an passé et à tous les endroits du monde où elles ont été acheminées. Toutefois, UC était un bon endroit pour l’atterrissage de cette guitare.

Une bonne guitare, c’est comme un cadeau d’anniversaire, et c’est exactement ce que je ressens chaque jour, quand je sors ma 714ce de son étui. C’est comme déballer un cadeau, mais en mieux, car je suis toujours heureux de ce que je trouve à l’intérieur : un design discret et élégant, de superbes matériaux, un look et une finition impeccables.

Les sonorités de la table en épicéa d’Engelmann et du dos et des éclisses en palissandre indien sont devenues plus matures, mais l’instrument possède toujours les qualités qui m’ont attiré au départ. L’épicéa d’Engelmann est chaleureux mais pas mièvre, et les harmoniques sont excellents, avec une tonalité fondamentale précise sur toute la gamme musicale. J’ai envisagé de changer de guitare, mais lors de multiples comparaisons en tête à tête, je n’ai jamais trouvé d’instrument aussi agréable à mes oreilles, ni aussi polyvalent.

En tant que guitariste, je suis toujours novice, allez, disons que j’ai un niveau intermédiaire avancé, en fingerstyle. Je joue en arpèges et en accords, et le son de cette guitare est génial dans ces deux styles. Je suis heureux de dire que je continue à m’améliorer (dédicace à Mark Bacilla, mon excellent professeur). Là encore, tout comme lorsque je déballe un cadeau, je parviens petit à petit à tirer davantage du superbe son de cette guitare.

J’ai lu votre histoire, et cela m’amuse de relier votre parcours scolaire en arts industriels à la guitare entre mes mains. Vous êtes partie intégrante de mon activité musicale ; ainsi, il me semble naturel de vous écrire un courrier de fan lors de l’anniversaire de ma guitare. Un immense merci à vous et à l’équipe Taylor, et tous mes vœux de réussite pour la suite.

Harry Eisner San Diego, California